J’aime la littérature. Je suis sensible à la nature. J’aime les oiseaux. Et surtout, je suis ridiculement naïve. Car en quoi pouvait-on prétendre qu’un ouvrage intitulé Le Cri du geai. Espace sous occupations sensibles, signé d’un anonyme syntagme « La folle Avoine » puisse s’avérer être une poésie bucolique aux élans romantiques tant chéris ? Oui oui, riez seulement, je ne […]