
Le seul regret qui reste après avoir terminé ce roman haletant, c’est qu’après 117 pages, c’est fini. Dès les premières lignes, Daniel de Roulet immerge le lecteur dans le monde des Béliers ; si l’on n’est pas de la génération qui l’a vécu, le séparatisme jurassien est souvent oublié. De Roulet, qui a grandi à Saint-Imier (notamment […]